ABORDER L’INDIVIDU DANS SON ENTIERETE :
A mon sens, nous ne sommes pas seulement une apparence, ni seulement un corps, ni seulement une parole, ni seulement une pensée. Nous sommes un tout.
Le métier de psycho-socio-esthéticienne est un métier holistique, c’est-à-dire que lors d’une prestation, la personne est considérée dans sa globalité et pas seulement sur un aspect de sa personne.
C’est un métier relationnel avant tout, et lorsque je débute un soin, je rentre dans un premier temps dans une phase de découverte de la personne. J’échange alors avec elle afin de connaître son état de santé bien sur, mais également ses ressentis et attentes du moment. Et je ne pratique aucun soin sans le consentement de la personne qui doit recevoir mon soin, même si j’ai l’accord du corps médical (chose que je m’emploie à obtenir au préalable).
En effet, les soins que je propose se prête à la détente et au bien-être, et l’échange avec le bénéficiaire des soins se veut en priorité rassurant afin d’instaurer un climat de confiance le plus pérenne possible.
Ma profession exige alors une adaptation à la personne et à la situation. Une personne qui refuse aujourd’hui acceptera peut-être demain, ou pas. Peu importe, je lui laisse le temps dont elle a besoin et respecte ses choix et ressentis.
PRENDRE LE TEMPS :
Le temps… C’est dans ma pratique un facteur primordial. En soin, je prends le temps avec la personne. Même si on peut estimer la durée approximative d’un soin, elle sera toujours différente d’une personne à l’autre car leurs besoins seront différents. Et découvrir une personne, instaurer un climat de confiance, échanger, pratiquer l’écoute active et adapter chaque protocole de soin à chaque individu dans sa globalité prend du temps.
La psycho-socio-esthétique n’est pas un métier commercial dicté par la rentabilité. C’est un métier avant tout humain, dont l’objectif est de rassurer, redonner confiance, rendre une estime de soi plus positive, communiquer, partager, donner de la détente et du bien-être, accompagner, évaluer, conseiller et transmettre l’information. Le tout dans la bienveillance et l’intérêt unique de l’héritier du soin. Tout cela nécessite du temps, un temps que j’investis immanquablement.
C’est ainsi que je m’engage à « suspendre le temps…dans une bulle de confiance et de bien-être ».
MES PRODUITS :
Important également concernant les produits que j’utilise en atelier : « je ne mets sur la peau que ce qui se mange ».
Il s’agit de créer des produits de beauté :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
Voici comment j’applique ces principes :
- J’essaie désormais d’appliquer une règle toute simple : “ne mets sur ta peau que ce qui se mange“. J’utilise donc au maximum des ingrédients de mon frigo et de mes placards de cuisine.
- Je privilégie par ailleurs les recettes qui nécessitent peu d’ingrédients.
- Je préfère utiliser des ingrédients bruts sur ma peau.
- Je privilégie les recettes à froid et évite la cuisson lorsque c’est possible.
- Mes routines beauté sont minimalistes : j’évite d’encombrer ma peau avec 36 produits.
- J’achète mes ingrédients (huiles végétales et huiles essentielles) dans des petits magasins bio.
En soin individuel, je travaille principalement avec 2 marques : AVENE et MÊME (et d’autres produits de qualité parapharmacie comme Uriage et/ ou certifié « biologique » : Ecocert)
Enrichis en eau thermale, les produits AVENE ont une utilité publique avérée. Ses vertus et ses capacités inégalées associent la qualité à la douceur et l’efficacité.
Dédiée à des peaux particulièrement fragilisées, la marque MEME s’investit dans l’exigence et la rigueur quant à la formulation et à la sécurité de ses produits.
» Plus de féminité pour plus d’estime de soi et mieux se battre contre la maladie. MÊME malade, je m’aime on m’aime! «